Bienvenue Dames et Seigneurs.

-Je suis moi-même en train de guerroyer contre le Seigneur Harada du royaume Futago.

Voyant le regard soupçonneux d'Harodès, Burghott ajouta:

-Mes orcs ne faisaient que se plaindre du manque de vraie baston, si ça continuait qui sait ce qui serait arrivé? Une mutinerie peut-être. Au moins maintenant ils ne peuvent plus se plaindre, il ne le pourront plus à l'avenir, car je crois qu'aucun ne reviendra entier de cette escarmouche.

Ecthelion but son verre d'eau et dit:

-Rare sont les royaumes orcs pacifiste,cela ne vient pas des seigneurs mais de la brutalité des orcs.
-Enfin si ils étaient un peu plus intelligent je pense que se les caverneux seraient le peuples le plus puissant de Madrona.

Burghott regarda Ecthelion d'un air suspicieux:

-Que voulez-vous dire par "un peu plus intelligents"? Considérez-vous que je sois un animal sans pensée et dénué de toute forme de capacité intellectuelle?

Ecthelion s'approcha de Burghott et murmura

-Je ne dit que les orcs sont des imbéciles et je ne permetterais pas d'insulter un esprit.
-Regardez cette auberge,voyez vous le nombres d'orcs passa leur temps à boire ?
-Je pense que en effet les orcs ne sont pas doté d'un niveau intellectuelle richissime.
-Mais biensur,il y a des orcs dotés d'une grande sagesse qui dirigent les royaumes les plus puissants de Madrona.

Ecthelion se calla au fond de son assiege et regarda Burghott avec respect pour montrer qu'il ne penser pas que c'était un être d'aucune sagesse.

Can le Katna arriva dans la grande salle et s'assit a une table seul puis il commanda :

- Etta s'il te plait , apporte moi une cervoise.

Une fois la cervoise bu, Can écouta la discussion très intérréssante entre Ecthelion et Burghott et ajouta quelques mots

- Certains orcs ne sont pas non plus des lumières mais en contre partie ils ont une barbaries et une sauvagerie sans limite ceux qui fait d'eux des adversaires redoutables sur quasi tout les terrains.

Sur ces mots, Can le katna recommanda une cervoise, la bu et parti vers la cour pour perfectionné son maniment des armes.

Siltarane, après une longue chevauchée posa pied près des écuries de l'auberge. Elle descella son destrier, et se dirigea vers l'auberge. Elle poussa la lourde porte et salua d'un geste discret l'aubergiste et sa femme. Elle leur demanda :

- Etta, donne moi une bouteille de ton meilleur cru, ça me calmera un peu!

Elle prit place à une table isolée, mis sa tête entre ses mains se mit à repenser aux dernières paroles de Tyrone.

Je récupérais un jour tes terres, sois en certaine, mon banissement n'est pas la mort, ton sort sera le même que celui de ton père....

Les traits de son visage s'assombrirent, ses yeux perdirent toute vitalité en se ressassant ces paroles.

En attendant, un prochain combat avec Ubel, Can poussa la grosse porte de l'auberge. Il salua d'un sourire charmeur Etta, et d'un signe de la main Kennit. Il aperçut au fond de la salle son amie en train de boire. En s'approchant de la table il vit une bouteille de vin bien entamée.

- Pour que tu prennes du vin, c'est que forcément, il y a quelque chose qui te tracasse.


Etta s'approcha de la tablée pour prendre la commande de Can lui dit discretement :

- Elle est comme ça depuis son arrivée a l'auberge, je crois pas que vous puissiez faire quoi que ce soit pour la sortir de son mutisme.

Can commanda une cervoise et essaya de faire rire Siltarane et vit qu'elle ne portait aucun intérêt à ses pittreries.

Siltarane se resservit un verre, le but d'une traite, au monent ou elle allait en reprendre un, elle remarqua que la bouteille n'était plus à sa place. Elle fronça les sourcils, et posa son regard sur les mains de Can qui avait pris possession de la bouteille, elle bondit de sa chaise; celle-ci tomba lourdement sur le plancher. Elle prit un langage familier en s'adressant à Can.

- Rends moi cette bouteille! Tu n'as pas à me la retirer, je l'ai payée. Cesses de m'inportuner avec tes pittreries, ça ne m'amuses pas du tout! Alors laisses moi en paix.

Elle porta une main crispée sur le fourreau de son épée, tapotant du bout des doigts son fourreau.

Il fut étonné de sa reaction, mais contre toute attente il reposa la bouteille à sa place ; Siltarane se rassis et se reservit aussitôt un verre. En voyant son attitude, Can resta silencieux et après avoir bu quelques gorgées de cervoise il lui demanda :

- Mais que se passe t'il ? Tu as des réactions bizarres ces derniers temps, ça m'étonne de toi.

Sans demander la permission, Can s'assit à la table, et entama une toute autre discussion.

- Dans quels cours vas-tu te spécialisée? Personnellement j'ai choisi le combat et tu sais bien que depuis tout petit j'ai une préférence pour le maniement des armes blanches...

Il attendit une réponse, finissant sa cervoise, il en recommanda une autre .

Elle bu une gorgée de vin qui lui paraissait bien fade au contact de son palais.

- Ces derniers temps, il me paraît primordial de priviligier le combat...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, Can la coupa en l'interrogeant à ce sujet car il paraissait inquiet.

- J'ai bien essayé de m'interresser à la magie, mais je ne suis pas prête à ça; les circonstances me porte plus vers l'art du combat car...

Can la regarda avec insistance cherchant de quoi découlait ce choix.

- Je... risque de croiser la route d'un viel ennemi que j'aurai du tuer au lieu de l'exiler de mes terres.

Can la regarda et dit :

- Si un jour prochain tu as besoin de moi, sache que je serai toujours là comme par le passé.

Elle resta pensive, les paroles de Can semblaient être transparente.

- C'est un combat qu'il faut que je mène seule, mais merçi pour ta proposition, je me retire.

Elle se leva de sa chaise le salua d'un geste furtif , posa quelques pièces sur le comptoir à l'attention de Kennit et se dirigea vers la porte sans se retourner.

Can se leva et ratrapa siltarane et il lui proposa

- Que dirais tu d'un petit duel pour t'entrainée si tu es disponible.

- Cette proposition ne pourrait que me convenir, je dispose d'un peu de temps, alors je te suis...!

Ils se dirigèrent tout deux en direction de la cour afin de se livrer à un duel, en effet cela faisait fort longtemps qu'ils ne s'étaient affrontés.

Burghott entra dans l'auberge en traversant un mur. Cette manière d'entrer provoquait à chaque fois une brise glaciale, car l'auberge est la demeure que hante le seigneur orc. Cette brise faisait à chaque fois sursauter Kennit, qui ne savait s'habituer à ce qu'un orc défunt hante sa taverne.

-Quelle frayeur vous me faites quand vous entrez de cette manière monseigneur! Vous n'êtes vraiment pas en mesure d'entrer par la porte comme le fait le commun des mortels?

-Hélas non Kennit, ma forme ethérée ne me permet pas d'influer physiquement sur les choses matérielles, je peux uniquement ouvrir par magie. Cependant, je ne connais pas de sort pour ouvrir une porte....

-Un mage de votre niveau, incapable d'ouvrir une porte par magie? J'ai du mal à le croire, alors que vous êtes capable de mettre à bas les plus grands guerriers en un geste de main.

-Héhé, je connais un sort qui pourrait ouvrir ta porte, mais il faudrait que tu en fasses faire une nouvelle à chaque fois que j'entrerais, elle serait en effet pulvérisée! Non, je parlais d'un sort pour ouvrir une porte en tournant la poignée, je n'en connais pas et je ne suis même pas sûr que cela existe.

Kennit observa la porte en chêne massif qu'il avait fait importer directement de la grande forêt du Nord. Un vrai trésor de menuiserie, cela lui avait coûté une fortune, l'élément le plus cher lors de la construction de l'auberge. A bien y réfléchir, Kennit préférait la brise glaciale que de devoir racheter une porte à chaque entrée de Burghott.

-Cela dit en passant monseigneur, je ne vous ai plus vu depuis longtemps en ces lieux. Vous êtes fort occupé par votre royaume j'imagine?

-Oui en effet j'ai beaucoup à faire, mon royaume est dans une mauvaise période ces temps-ci et j'ai aussi à m'occuper de mon élève en magie, Ecthelion. Il est très doué, il lui faut juste beaucoup travailler son talent. Il deviendra à coup sûr un grand mage, probablement bien plus puissant que je ne le suis.

Srakgnut entra en ouvrant violemment la porte. Kennit sursauta à nouveau puis parti inspecter la porte, craignant que l'orc l'ait abimée en l'ouvrant si fortement. Skragnut se dirigea vers Burghott.

-Maître, Gorbak à encore déclanché une baston dans la taverne! Il a dit que Barbak avait craché sur ses plus belles bottes puis lui a lancé sa hache dans la tronche.

-Gorbak, vraiment une machine à baston celui-là. Mais bon, si ce n'est qu'une baston de plus, il n'y a pas à s'inquiéter.

-Mais maître, Gorbak a réussi à rallier quelques boyz à sa cause et ils se sont mis en tête de capturer votre chateau. J'ai du préparer une troupe de défense avec quelques autres boyz. On a réussi à repousser les rebelles mais ils avaient déjà mis le feu à la taverne et à certaines huttes!

-Damnation! Qu'en est-il des mutins? Vous les avez fait prisonniers?

-Non maître, on les a tous ziguouillé! J'ai gardé l'oeil de Gorbak en guise d'avertissement pour les autre fauteurs de troubles.


Skragnut montra un globe oculaire sanglant à Burghott. Au bout de l'oeil pendait le nerf optique, encore plus sanglant.

-Un bien beau trophée que tu as là cher Skragnut. Mais je compte rester ici cette nuit, rentre au royaume et continue de maintenir l'ordre pendant mon absence.

-Bien maître!

Skragnut sorti de l'auberge en courant. Kennit, qui avait fini d'inspecter la porte, vint vers Burghott.

-Hé bien, il s'en passe des choses chez vous! Et cet orc, était-ce votre servant? J'ai remarqué qu'il portait de nombreuses parures et autres bijoux, il doit être riche.

-C'est plus mon bras droit que mon servant. Et non il n'est pas riche, c'est juste qu'il occupe la place de héros et qu'avec l'argent qu'il rapporte avec les duels, il a de quoi s'offrir un peu de luxe. Bon, je suis épuisé, je monte me reposer au grenier. Bonne fin de journée, salue Etta de ma part!

Burghott monta au grenier. Kennit repensa au dernières paroles de l'esprit, se demandant si le nombre incalculable de bijoux, bagues, colliers et bibelots en or que portait Skragnut étaient réellement "un peu de luxe"....

La salle était vide, le soir tombait lentement et les 2 aubergistes étaient profondémment endormis... Quand soudain, la porte de l'auberge s'ouvrit, laissant aprecevoir le ciel étoilé. Quelqu'un entra, c'était un orque d'une carrure imposante, son corps était recouvert de nombreuses cicatrices... Le caverneux tenait dans les deux mains un grand coffre en bois qu'aucun humain n'aurait eu la force de porter mais l'orque soulevait le coffre avec une facilité étonnante.
Il se dirigea vers une table dans un coin de la pièce et déposa le coffre qui tomba dans un grand fracca.
Kennit se réveilla en sursaut et courru apporter une bière au visiteur.
L'orque s'installa et ouvrit son coffre, il contenait de nombreuses armes et armures en tout genres, il étala les objets sur la table et entamma sa boisson...

Quelques minutes après, la porte s'ouvrit à nouveau et Harodès entra, il s'accouda au comptoir et commenda de l'hydrommel. Puis, après avoir terminé son breuvage, il remmarqua la présence de l'orque et se dirigea vers lui.

- Salutation cher étranger, qui êtes-vous? Nous ne nous sommes jamais recontrés il me semble...

Le caverneux parru assez content de l'arrivée d'Harodès dans la taverne et il répondit:

- Non, en effet, c'est la première fois que j'viens ici. Je m'appelle Gorbatt, j'suis marchand d'armes. Aut'efois j'étais un grand guerrier mais aujourd'hui j'ai décider de devenir commerçant, je parcours la contrée pour vendre des armes... Seriez vous interressé par un quelquonque article ??? Regardez j'ai des épées, des dagues, des fléaux, des bâtons magiques, des haches, des massues, des...

- ... Une épée à deux mains m'interresserais.

- Je vois que Monseigneur aime les armes lourdes, j'en ai justemment une. Il tendit une longue épée argentée avec des reflets dorés à Harodès. Elle a été fabriquée dans les montagnes de l'Ouest, chez les nains. Avec ça vous tuerez les plus grands Trolls en quelques coups seulement.

Harodès fit quelques mouvement, de droite à gauche puis de gauche à droite...

- Mmmh oui elle est très agile pour son poid, je la prend.

- Parfait, seulement 100 Mädrëns syouplait... Je sens que je vais rester ici moi...

Harodès donna une bourse à l'orque et dit:

- Voila, je ne vais pas rester ici trop longtemps...

- Attendez Monseigneur, vous êtes certain que vous ne voulez pas autre chose? Cette massue par exemple, admirez cete puissance.

Le marchand frappa violamment la table voisine avec son arme, créant un grand trou dans la table. Kennit approcha en courant.

- Hé là, on ne détruit pas le matériel de mon établissement !!!

Harodès sortit une autre bourse et la laça à l'aubergiste.

- Bon, j m'en vais. Aurevoir Kennit...

Il quitta l'auberge.

Croisant Harodès a l'entré de l'auberge, il lui adressa un signe de main, avant d'entrer.
Il salua les occupant, puis, alla s'asseoir seul à une table.

Hé l'ami ! Viens voir par ici !

Ecthelion tourna la tête, et vit un caverneux, qui farfoullait dans un grand coffre, il s'en approcha...

Que me veut tu caverneux ?

Regarde un toute cette marchandise !


Il sorti un long sabre fin, puis, ouvrit un petit sac, ou il y sorti un rat, il l'immobilisa grace à un sort.

Regarde un peu ça.

Puis, avec un coup rapide, il trancha le rat en deux, le coup était net et précis.

Hum...Intéressant, tu m'en donnerait combien ?

Hé ben...350 000 mädrens !

Ecthelion le foudroya du regard, l'orc avait l'air paniqué.

Non, non...C'était une plaisanterie, je te le donne pour 78 mädrëns !
Affaire conclue !

Il sorti une bourse, puis la donna à l'orc, il lui serra chaleureusement la main, prit l'arme, et sorti de l'auberge...

Stannis dégustait une cervoise au comptoir, ce n'était pas tout les jours qu'il passait dans la Grande Salle...
Il jeta un regard en arrière lorsque Seffiron entra et sourit à part lui.
Ambidextre...

Assied toi à mes cotés Seffiron, ce serait une joie d'accueillir le nouveau membres des Coeurs Ardents...
Kennit, tournée génrale.

Ma foi oui, j'accepte votre requête, on a besoin de gens que vous ...

Stannis lui sourit et lui tendit une verre de vint Tramilla cuvée 1159 (trèèèèèèèèèes bonne année).
Goutez, c'est divin...
En faisant tourner son vin, il reflechissait à sa question.
J'ai connu un homme de ce noms, bien que je ne l'ai souvent vu, j'ai eu l'occasion de l'avoir pour allié, il m'a aidé, lors d'une bataille, et je lui suis reconnaissant, pourquoi cela ?

La pluie commença à tomber et Harodès retourna à l'auberge, dans le but de ne pas mouiller sa belle armure. Il vit Stannis en pleine discussion avec un être qui semblait être un Druchii. Il alla alors les saluer.

- Salutation Stannis, qui est donc cet homme ?

Avant qu'Harodès ne reçoive sa réponse, la porte s'ouvrit et un nain entra, disant alors à haute voix:

- Haaa, salle temps !!! Bonjour chers seigneurs, je m'appelle Thorgir, comme vous le constatez je suis un montagnard, j’aime faire la fête et boire de la cervoise… J’aimerais séjourner dans cette sympathique taverne.

Le nain se dirigea vers le comptoir et vida une chope, puis une deuxième et il en entama une troisième. Puis il remarqua l'orque et se dirigea vers lui...

Stannis sourit lors de l'entrée du nain.

En effet Khaine a semé le chaos à travers les terres.
C'est quand il est "apparut" que j'ai décidé d'agir...

Vulcaneridon n'est pas le seul à avoir été emporté par cette folie...
Akira, Lomius, Nurwë...
Tous mes amis, et pourtant, ils ont tous été charmé par le Mal...

Khaine est un Dieu, Druchii il me semble, il est entré en contact avec le Seigneur Nurwë et en a fait...son pantin.
Nurwë est devenu sournois, mauvais et différent.

Ses armées ont mis toute La Contrée à feu et à sang...